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Portraits littéraires |
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Attentif à
l'amitié, enthousiaste hâtif parfois, La Varende évoquait
dans des portraits ceux avec qui il éprouvait des affinités
littéraires ou de tempérament. La Varende fut aussi l'un des
acteurs les Lettres françaises du XXe siècle ; le portrait pouvait
ainsi témoigner chez lui d'une complicité éprouvée
- parfois à plusieurs siècles de distance - à travers
la seule lecture ou la réputation d'un inconnu, ce que révèlent
notamment ses biographies. Son élection à l'Académie
Goncourt lui conféra particulièrement le soucis des Lettres
françaises et celui d'un encouragement à donner aux jeunes auteurs,
par des préfaces, des chroniques littéraires.
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Notre
âme est une conque où murmurent et sourdent les voix multiples
du temps, le bruissement des souvenirs, les fusions souterraines des hérédités.
Il peut arriver qu'un être plus sensible que nous dote ces vibrations
d'un rythme, ordonne ces ondes en accords et notes. Alors, il fera chanter
en musiques puissantes et claires le noir bourdonnement de nos sangs au fond
du coquillage.
Un poète : Louis Foisil, in " La Revue
normande "
quelques
ouvrages autour de ce thème :
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Grands Normands |
1939
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Henri Defontaine |
Flaubert par lui-même |
1951
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Le Seuil |
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voir
aussi les textes qu'il consacra à...
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Marin-Marie ; Louis Foisil ; René Fauchois ; Lucie Delarue-Mardrus |
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Léon Daudet ; Charles Maurras ; Robert Brasillach |
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Claude Farrère ; Albert Brenet ; Villiers de l'Isle-Adam |
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