La Varende et ses pairs 

 

 

Nous reproduisons ici quelque "témoignages" d'écrivains et artistes regroupés dans un livre paru chez Maugard (Rouen) en 1951 "L'œuvre de La Varende devant l'opinion", texte regroupés et présentés par Pierre DOLLEY.

Duc de Broglie de l'Académie française : "Depuis la première édition du premier livre de La Varende dont je m'honore d'avoir écrit la préface, le lauréat du prix des Vikings a poursuivi une éblouissante carrière littéraire et s'est acquis une très large renommée en France et à l'étranger". (juin 51)

Paul Guth : "La Varende a donné une province à la littérature...qu'il est doux d'écouter un parleur dont les mots sont des Chansons de Roland! "

Amiral Lacaze de l'Académie Française :"...La Varende est, de tous nos écrivains contemporains, celui qui a le lieux parlé de la marine et de la mer, avec Pierre Loti, Paul Chack et Claude Farrère.  Quel plaisir de lire son Tourville ou son Suffren ! Ce sont des portraits haut en couleurs, des évocations prestigieuses de la marine d'autrefois, des descriptions précieuses - mais sans pédantisme - de célèbres batailles navales".

Pierre Mac Orlan de l'Académie Goncourt : "J'aime beaucoup les livres de La Varende : c'est pour moi un des grands écrivains de cette époque" (mai 1950)

Michel Mohrt de l'Académie Française : " ...mais, pour ma part, d'est à Faulkner, grand romancier américain du Sud que me fait penser l'œuvre de La Varende. Faulkner qui, lui aussi, par des critiques américains, a été pris pour un romancier provincial comme La Varende. Parce que ces critiques n'ont pas vu que c'est à travers le particulier que l'on atteint le général et que, plus l'œuvre est précisée, datée ou enterrée dans une terre et plus elle est vivante".

Roger Nimier : " Il a créé un univers romanesque. Man d'Arc, Le centaure de Dieu, Le roi d'Écosse et Nez de cuir sont quatre explorations dans ces provinces que nous pensions endormies et dont il nous montre la fièvre... Son nom veut dire immédiatement quelque chose : ces fins visages et ce sang tout prêt à sortir au grand jour... La fierté, le romanesque reviendront à la mode" (avril 1950)

Henri Pourrat : " Je n'ai pas d'attache avec la Normandie, et, tout de même, j'aime ce qu'écrit Jean de La Varende. C'est que j'y trouve bien autre chose que la Normandie. J'y trouve la terre, j'y trouve l'homme, et leur vieille alliance. Son oeuvre est une connaissance, et par là qui a droit à la fiction, étant poésie. Comme Ramuz, d'autre façon que Ramuz, Jean de La Varende nous mène au grand air..." (juin 47

André Collot (graveur, illustrateur du Cheval et l'image) : " La Varende et moi avons un commun amour, raison de ma sympathie : la mer et les bateaux. Je n'ignore point ses maquettes prestigieuses et ses reconstitutions fidèles...(décembre 1950)

 

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